Ultra thin glass : l’appellation trompeuse de Samsung pour son Galaxy Z Flip ?

Written by Guillaume
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Disponible depuis peu, le nouveau smartphone pliant de Samsung intègrerait une fine couche de verre pour son écran. Une caractéristique largement exagérée pour certains.

Depuis la fin des années 2000, le « rêve » d’un smartphone doté d’un écran pliant fait vibrer toute l’industrie. Leader sur le marché, Samsung est évidemment à la pointe sur ce segment encore très jeune aujourd’hui. Il a été l’un des premiers à présenter un prototype fonctionnel, puis l’un des premiers à commercialiser un modèle, avec le Galaxy Fold lancé en septembre 2019 dans son pays natal, la Corée du Sud. Samsung ne s’est toutefois pas arrêté en si bon chemin et alors que de nombreux analystes s’attendent à voir débarquer un Galaxy Fold 2 dans les prochains mois, Samsung a temporisé en distribuant le Galaxy Z Flip, toujours pliant, mais dans l’autre sens.

Smartphone à clapet, il profite en théorie d’avancée encore plus sensible dans la composition de son écran qui doit être aussi flexible, mais également plus résistant que celui du Galaxy Fold. Une affirmation que Samsung appuie en indiquant être parvenu à intégrer une fine couche de verre dans les composants de son écran. L’ultra thin glass comme l’appelle le constructeur est toutefois largement critiqué depuis la sortie du smartphone. Ainsi, la chaîne YouTube JerryRigEverything – qui a l’habitude de faire subir les pires traitements à nos portables – met en doute l’affirmation de Samsung.

Comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus, de multiples tests sont effectués afin de vérifier la résistance du dit écran et de son ultra thin glass. Avec une simple pointe en plastique, Zack Nelson marque durablement le Galaxy Z Flip et le simple test de l’ongle n’est guère plus probant. L’écran se marque aisément, même si le côté tactile résiste à ces expériences. Bien sûr, l’écran d’un smartphone pliant comme le Galaxy Z Flip ne nécessite pas le même niveau de protection qu’un modèle classique puisque, replié sur lui-même, il est à l’abri de nombreuses agressions du quotidiens. Cependant, comme le souligne Zack Nelson, l’ouverture et la fermeture du smartphone entraînent nécessairement des frottements avec l’ongle ce qui risque de marquer durablement l’écran à des endroits très précis. Sans critique les progrès – sans doute réels – réalisés par Samsung en la matière, on regrette forcément l’emploi du terme « verre » propre à induire en erreur les consommateurs quant à la résistance véridique du produit.